Guys, here is an account of my life in this business, with a cop, used to be a friend of mine at school, became a real NAZI. It's a tale of service secret, and the worst you can imagine.
It's happening in switzerland, not under a dictature.
It's in french. Please feel free to translate it in german, it's worth it.
--- Short synopsis ---
Les services secrets: un gateau a la merde dont ont me sert une tranche par jour depuis 6 ans
Mon premier emploi, chez un ISP, des droles de zozo nous tournent autour, lors de sorties en soiree dans les restaurant de la region, avec 3 collegues et amis. A cette epoque je ne me rend compte de rien, c'est plus tard que j'ouvrirai les yeux sur ces phenomenes.
Printemps 2001, un type m'en parle, pas de la maniere la plus simple. J'oublie dans les minutes qui suivent notre conversation.
Fin du printemps 2002, suite a des sortes de minis pieces de theatre dans des lieux pour moi habituels, je commence a devenir conscient. Pendant quelques jours c'est relativement marrant. Au bout de 3 a 4 semaines il me paraissent imbeciles et grossier au possible a de tres rares exceptions.
S'enchaine tres rapidement un episode digne d'une insondable connerie humaine: en fin d'une journee de "test" pour la ville de Lausanne, mon amie me tend un joint petite feuille bien rempli de mix. Je le fume sans me douter de rien. Il a une amertume inhabituel mais je ne me doute pas de la suite des evenements. Une minute a peine apres avoir terminer le joint, la montee est particuliere: mon pouls monte tres rapidement a env. 160 - 170 pulsations minutes, sans aucune activite physique. S'ensuit une inquietude quant a mon poul, degenerant en un grave acces psychotique. Un empoisonement avec une substance genre stimulant cardiaque ou vasodilatateur puissant. Une vrai saloperie, un bad trip impossible a obtenir avec du cannabis.
Hopital regional. Sa ne se calme guere. Hopital psychiatrique. Neuroleptique dosage maximal. Dehors, dans la rue, le plan des cretins organises en reseau continue a exister pour me montrer du pays, a quel point je suis petit face a l'immenste sociale de vieux patriotes d'arriere garde. Il va s'eterniser sur 3 (!) longues et penibles annees.
Gravement soumis par la peur, je vais commettre ma seule erreur: ne pas oser en parler. Meler a la peur de tous les instant, je perd mes capacites de concentration et m'enfonce dans une depression severe, a trois reprise la tentation du suicide est forte a tres forte.
Je vais perdre 2 jobs successifs, apres quoi je refais un sejour en hopital psychiatrique. La comme par enchentement, les imbeciles cessent leur demonstration de force, des ma sortie de l'hopital.
La peur va enfin me quitter, laissant place a une emotivite vive, une sursensibilite au moindre alea de mon environnement, puis je vais m'enfoncer dans une melancolie tournant a la depression durant encore 2 ans.
C'est seulement debut 2008 que je remonte a la surface, avec encore quelques trous d'airs en terme d'humeur et une ribambelle d'hurluberlu m'influencant pour me faire taire.
Un systeme de conditionnement et controle de l'humain deguise en autre chose, a la guise, en fonction du soldat a "integrer" (les pretextes trop divers sont la seul raison du secret). Une ribambelle d'imbeciles convaincus d'etres des agents secrets, un laisser faire politique bien pratique pour maintenir une chape de plomb et continuer a etre une place de reglement d'affaires financieres a l'abri des critiques (je parlai a mon entourage de la taxe tobin et du risque systemique peu avant la decompensation).
A titre personnel, 6 annees de vie perdue, a regresser professionellement pendant 3 ans, pour combler mon retard les 3 suivantes. 4 sous neuroleptique. 3 ans ou ma personnalite va se dissodre dans le bain acide de la peur. Suive 2.5 ans de lourds sequels de _DEPERSONNALISATION_, rien de moins.
Un pote disait: "la vie est un enorme gateau a la merde dont ont te fait bouffer une tranche chaque jour". A l'epoque je m'inscrivait en faut. Ces 6 dernieres annees je trouve qu'il a parfaitement raison.
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The full text:
http://helvetic-park.bravehost.com/
And no, I ain't crazy.